Alizée

25 ans, étudiante de 3M. Je finis ma troisième année de maturité en descendant tous les soirs de mon petit village fribourgeois pour trouver les bords du lac. Après un arrêt prématuré du gymnase de jour pour des raisons de santé, j’ai fait ce fameux “plein de trucs” : une année au pair, des stages,…

Alizée, 25 ans, étudiante de 3M.

Je finis ma troisième année de maturité en descendant tous les soirs de mon petit village fribourgeois pour trouver les bords du lac. Après un arrêt prématuré du gymnase de jour pour des raisons de santé, j’ai fait ce fameux “plein de trucs” : une année au pair, des stages, commencé un CFC, bossé, etc. J’ai fini par décider que je ferai ce que j’aimais le plus : partager, aider et ce à travers l’enseignement. Me voilà donc retournée sur les bancs d’école, bien déterminée à obtenir ma maturité, afin de devenir moi-même enseignante, après bien sûr encore quelques années d’Université. Le GypAd était la meilleure option pour moi afin de continuer à travailler, reprendre confiance en moi, étudier à mon rythme et réaliser mon projet professionnel. Si c’est “déjà pas mal”, il s’est avéré être bien plus encore ! 

Les enseignant·e·s que j’y ai rencontré·e·s sont tous·te·s extraordinaires ! L’ambiance de classe est bienveillante, les étudiant·e·s s’entraident, il y a toujours de la place pour aller en profondeur des choses et même les cours qui me faisaient le plus peur se sont transformés en une partie de plaisir ! J’apprécie particulièrement le rapport élève-enseignant·e·s qui tout en étant respectueux reste léger et fait une belle place à l’humour. Mais ce que je préfère, juste avant les couchers de soleil depuis le bâtiment C, c’est l’engagement et l’investissement du GypAd pour la réussite de ses étudiant·e·s ! Le plus dur au final c’est d’y passer si peu de temps. 

Pour moi le GypAd n’est pas une simple seconde chance, c’est une belle revanche et la conviction qu’il n’est jamais trop tard ! 


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