Alexandre

25 ans, ECGA et Voie passerelle, 2022. Je suis actuellement en première année de Bachelor of Arts en Lettres et Sciences humaines à l’université de Neuchâtel. Avant de démarrer le GypAd, j’ai effectué un apprentissage de dessinateur en bâtiment option architecture, terminé en 2017.

25 ans, ECGA et Voie passerelle, 2022.

Je m’appelle Alexandre, j’ai 25 ans cette année et je suis actuellement en première année de Bachelor of Arts en Lettres et Sciences humaines à l’université de Neuchâtel.

Avant de démarrer le GypAd, j’ai effectué un apprentissage de dessinateur en bâtiment option architecture, terminé en 2017. La formation ne m’ayant pas plu et voulant changer de métier, j’ai décidé de recommencer mes études par le biais des cours du soir afin d’entrer à l’université. J’ai ainsi suivi les cours au GypAd en voie culture générale et j’ai ensuite obtenu  une maturité spécialisée en pédagogie à Yverdon-les-Bains. Après cela, je suis retourné au Gymnase pour Adultes pour l’examen passerelle en 2022. 

Actuellement, je suis des cours d’histoire, de géographie et d’archéologie dans le but de devenir enseignant, soit en école secondaire, soit au niveau gymnasial. 

Quant au GypAd, c’était un bon passage dans ma vie estudiantine. On revoit beaucoup de bases, même s’il ne faut pas arriver comme un « touriste », il faut se préparer car les cours sont exigeants. Cependant, la plupart des élèves y sont préparés, ont une vie en parallèle et sont sérieux. Cette dynamique dans laquelle je me suis retrouvé m’aide maintenant dans mon cursus. Les difficultés principales que je peux associer aux cours du soir sont d’une part le temps très court qui est accordé  et d’autre part celui des horaires qui peuvent être exigeants, tant physiquement que mentalement. Personnellement, je n’ai pas de vie familiale (enfants, chien ou chat), mais certains de mes camarades sont devenus parents ou l’étaient déjà lors de leur entrée, la grande difficulté pour eux était donc d’allier leur vie aux cours. 

Ce que j’ai beaucoup apprécié durant ces années, était la proximité et la disponibilité des enseignants. Ils ne sont pas là pour « plomber » leurs élèves, car eux aussi ont le choix ou non de participer à ce cursus. C’est agréable de savoir que l’on peut compter sur ses camarades, mais aussi sur les personnes qui donnent leur enseignement. 


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